Salle des poètes/poètesses en herbe

exact

je ne vois pas encore il ya reglement de compte XD , j'ai juste dit ce que je pensais ^^

écrire, quelle joie
non pas vraiment
c'est quoi?
comme une fuite...
vers quoi ,
difficile dans ce cas
de fermer les robinets
l'appel même au plombier
n'est pas recommandé
il ne serait que faire
et tout son attirail
en serait " désarmé"
alors on " fuit "
et la fuite est étrange
et sans fin
et sans bruit
et sans but
et combien reposante...
comme le pas d'un ange
et puis, et puis
ON DORT !

ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii

ami, ami, tu sais
mais non, tu ne sais rien
je continue la vie
il paraît que c'est bien
je continue le rire
il sonne clair et gai
mais sais-tu ce qu'il dit?
c'est sûr, il n'est pas vrai!
je crève doucement
entre deux "ciels " d'orage
et le temps méchamment
me lamine et me ronge:
je regarde passer
mes plus belles années...
je trouve la vie "con "
mais les enfants, si bons
à regarder, à reniffler
quand on les a torchés!!!
et la merde me manque
et je suis dans la merde!
personne à qui parler
enfin, tu me comprends,
ne pas dire " bonjour "
" bonsoir " seulement
comprendre à demi mot
derrière les enmerdes!
Je regarde les gens
et leur fait des grimaces
pourquoi sont ils tous
autant que des limaces?
berc, je n'aime pas
et c'est ce qui me tue
j'en crève, j'en rugis
et tourne dans les rues
je traîne à chaque pas
je recherche le " beau "
même dans le ruisseau
et j'y trouve de tout!
et je n'ai pas de pot !
rien, fichtre non rien
rien que de la mélasse
chacun voulant garder
et son bien, et sa tasse
bien remplie jusqu"au raz,
ne voulant rien donner
menu, menu, petit
à ce point effrayé
que la tasse ravie
s'en est toute explosée
et sur le beau trottoir
aux flaques généreuses
mille morceaux de Saxe
du coup s'en vont crever!
je ne me baisse pas
je ne ramasse plus
j'ai fini de jouer
je suis presque perdu
j'ai hâte de finir
cette tâche suprême
donner, donner donner
et puis enfin partir
et puis enfin mourir................

si vous avez le coeur
malade, laissez le vous dire
que le vent n'est pas un danger
mais une bise
légère et grave
sur votre front brûlant...
n'oubliez pas la vie
et croyez bien
que le ciel ne tombera pas
sur votre tête ...
si vous gardez les yeux
levés vers le soleil !!!!

...pensées de chantilly "


hihihihihihihih

petite chantilly
j'ai la nette impression
que les poêmes
et autres pensées
intéressent..................
très peu de sans amis !!!
dommage
c'est une bonne
thérapie!!!
a bientôt!!!
je me demande ce qu'est devenu
l'auteur de ce poste ?
a++++++++++++

moi je pense...donc je suis...mais pour écrire des trucs bidules, c'est pas gagné!

Ces derniers temps, je n'ai pas beaucoup d'inspiration,
C'est parce que la vie m'a lâchement délaissée en arrière,
En avançant toute seule, en ne me prêtant aucune attention,
Je me retrouve dans ce passé sinistre qui manque de lumière,

Puisque l'être que j'aimais, n'avait pour moi aucune affection,
Cela m'a laissé dans l'oubli, dans cette confusion immense,
Je ne comprend plus ma vie, tout ce cœur en destruction,
Aimer et vivre pour moi, ne signifient rien lorsque j'y pense,

J'aimerais quitter cette histoire et me retrouver ailleurs,
Ailleurs où il y a une merveilleuse histoire entre moi et elle,
Malheureusement ce ne sont que rêveries de mon cœur,
Je vais peut être m'éteindre à cause de cette vérité mortelle.

J'ai versé trop de larmes, je ne veux point vous inonder,
Ma vie est une erreur, une suite d'échecs. Une fin: Mourir.
N'essayez pas de me retenir, vous ne ferez que ralentir
Le rythme de ma douce mort, cet instant, où je serais libéré.

Si seulement cette personne pouvait me retenir, me guérir,
Si seulement je pouvais être à ses côtés au moment de partir,
C'est ce que la vie me refuse, m'interdit sans cesse, la Mort
Peut être m'acceptera, si je lui offre le sang de mon corps.

Cette vie n'a plus aucune lumière, je ne vois plus que le noir,
Ce noir qui remplit l'esprit, cette lumière qui ne peut éclairer,
Mon cœur si sombre, si triste, je ne peux continuer à lutter.
La Mort fêtera alors la fin de ma vie et le début de sa victoire.